Retour au bureau: une opportunité, pas une obligation
Faut-il obliger les salarié·e·s à revenir au bureau? C’est la question que se posent aujourd’hui nombre de dirigeant·es RH. Chez tipee, la réponse est claire : mieux vaut donner envie que d’imposer.
Dans sa tribune parue dans Bilan (mai 2025), notre CEO Jean-Marc Fillistorf partage notre vision du travail hybride et l’approche concrète que nous avons adoptée pour renforcer l’attractivité de nos bureaux.
Un bureau pensé pour la collaboration et l’envie
Des aménagements utiles, pas cosmétiques
Chez tipee, l’aménagement de nos bureaux repose sur une conviction simple : le bureau doit devenir un levier de lien, de créativité et de bien-être.
Nous avons repensé nos espaces pour :
- encourager les échanges informels et les projets communs,
- favoriser le bien-être avec des zones de détente et une ergonomie soignée,
- soutenir la performance collective avec des outils et espaces adaptés.
Une culture de l’accueil et du plaisir de se retrouver
Plus qu’un lieu, le bureau est un temps fort.
Nous avons mis en place des rituels qui donnent envie de revenir :
- matinées en équipe et cafés partagés,
- moments informels ou festifs réguliers,
- réunions orientées solutions plutôt que contrôle.
Travail hybride: responsabiliser plutôt que surveiller
Chez tipee, notre politique RH repose sur la confiance. Chaque collaborateur·rice organise son travail selon son rôle, ses missions et son rythme. Résultat : un fonctionnement hybride naturel, fluide et équilibré.
Le bureau n’est plus une contrainte : il devient un atout au service de la collaboration, notamment pour :
- les réunions clés ou décisions d’équipe,
- les brainstormings créatifs,
- les nouveaux projets transverses.
RH: que retenir pour vos propres bureaux ?
La réflexion de Jean-Marc Fillistorf invite chaque entreprise à se poser les bonnes questions sur l’évolution de ses espaces de travail :
- Vos bureaux reflètent-ils encore votre culture d’entreprise ?
- Favorisent-ils la motivation et le lien ?
- Offrent-ils une vraie valeur ajoutée par rapport au télétravail ?
Si la réponse est « non », alors c’est peut-être le moment de repenser votre approche.
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